Depuis 15 ans, les équarrisseurs se plaignent à l'unisson d'un manque de rentabilité, ce qui débouche en général sur une CVO pour les éleveurs.

 

Le contexte actuel est différent et les équarrisseurs se disputent désormais âprement les parts de ce marché, n'hésitant pas à aller en justice pour faire réviser les négociations. Les évolutions réglementaires et technologiques ont transformé les cadavres d'animaux et les déchets d'abattoir en mine d'or. Même Sofiprotéol, qui  s'intéresse peu aux éleveurs et à leur métier, s'y associe pour produire du biocarburant à partir de graisse animale. C'est dire si les perspectives de gains financiers doivent être bonnes...

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