Le Conseil a porté uniquement sur le plan stratégique de la filière viticole. Seuls les points ne faisant pas consensus ont été abordés, à savoir : le potentiel de production et sa gestion, la gouvernance, le rôle des bassins de production et des interprofessions, l’enrichissement et la recherche et développement.

 

Des inquiétudes subsistent sur la gestion des nouvelles autorisations de plantation et sur de possibles échanges entre les segments, qui seraient préjudiciables. Les négociants reprochent au fonctionnement actuel leur absence dans la plupart des ODG. Une bataille pour l’influence de chacun dans les décisions de la filière a eu lieu, sans surprise.

La question de l'enrichissement a fait débat, notamment sur les difficultés et les incohérences du système actuel. La possible suppression de la chaptalisation à l'horizon 2025 fait planer une inquiétude franche sur la filière, car nous n'avons pas les outils pour produire nos MCR et que cela engendrerait un surcoût sur un marché mondial du vin tendu.

 

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