Comme nous l'avions précédemment annoncé, de nombreux rapports des lobbys hygiénistes sont défavorables au vin et nombreux sont ceux qui prônent un durcissement de la fiscalité comme de la loi Evin. Tous les torts lui sont trouvés ! Selon le professeur Reynaud, l'alcool (le vin n'étant ici que de l'acool) serait le produit le plus dangereux, avant l'héroïne et la cocaïne.

 

Car l'alcool est le "produit qui procure le plus de plaisir et de bien-être" et qu'il "entraîne de nombreux dommages sanitaires et sociaux". Désormais nocif dès le premier verre, cancérigène, le vin est réellement le fer de lance du combat hygiéniste, qui imagine réduire l'alcoolisme en diminuant la consommation de vin.

Sont-ils obtus ! La consommation de vin en France ne fait que baisser depuis des décennies, et elle est désormais devenue occasionnelle pour la grande majorité des buveurs de vin. L'alcoolisme a-t-il pour autant diminué ? La réponse est NON. Par contre, le binge-drinking, les premix ne cessent de se développer. Mais peu leur chaut, ces grands "scientifiques", dont la plupart des études feraient hurler tout comité scientifique, ont leur vérité et n'en démordront pas : il faut diminuer la consommation d'alcool. La prévention et l'éducation ne sont pas à leur programme...

Nous sommes donc en route vers un prohibitionnisme larvé, avec un État complice de cette situation. Complice d'abord parce que ces lobbys hygiénistes ont l'oreille des ministères et sont financés par des deniers publics. Complice ensuite parce que le besoin fiscal se faisant sentir, toute rentrée d'argent a un intérêt certain.

C'est pourquoi la filière aujourd'hui est mobilisée : il ne faut pas les laisser continuer. Nous avons trop longtemps accepté de plier pour montrer notre bonne volonté. La campagne de mobilisation lancée par Vin et Société "cequivavraimentsaoulerlesfrançais" est à diffuser dans tous vos réseaux. Allez soutenir notre filière, interpellez vos élus départementaux via ce site. Il n'y a pas de meilleure réponse !

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